Presse

The Organ, Novembre 2006

« Une organiste exceptionnelle... Impressionnante... »

Dernières Nouvelles de Colmar

« Divine...Eblouissante... Un talent raffiné... »

Le Méridional

« Un concert fascinant... Une magicienne... Une virtuosité et une grâce quasi célestes. »

Le Vert

« Fascinant... Elle jouait, dans le sens le plus vrai du mot, avec les partitions et l'orgue. »

Buersche Zeitung (Allemagne)

« Un éblouissant feu d'artifice de rythmes et de couleurs sonores au service d'une poésie pleine d'invention »

L'Orgue Normand

« Elle orchestre véritablement sa musique... Une profonde impression d'espace, d'organisation cosmique... Virtuosité... Verve créatrice. »

Midi Libre

« Un incroyable raffinement. »

Waz Buer (Allemagne)

« Une artiste au style flamboyant... Extrême clarté de la mise en page musicale... Raffinement des registrations... Un lyrisme extraordinairement distingué... Exubérance exaltante. »

Luxemburger Wort

« Un remarquable mélange de fougue et de rigueur... Cette interprète s'inscrit, sans aucun doute, dans la tradition des grands organistes qui dominent les problèmes de la musique au-delà de ceux de leur instrument. »

Dauphiné Libéré

« Mémoire exceptionnelle... Technique vraiment virtuose... Conception captivante... Remarquable interprétation. »

Staz Lidu (Slovaquie)

« ... des doigts magiques... »

Figaro Madame

« Je n'avais jamais entendu l'orgue sonner ainsi. »

Cultura (Sofia, Bulgarie)

« Une organiste extraordinaire... Mémoire phénomenale... Aisance et régularité rythmique... Elle excelle à mettre en valeur les proportions de l'oeuvre, tout en ciselant délicatement les détails. »

Luxemburger Wort

« Science de la registration... Technique transcendante... Styliste au goût très sûr. »

Musique & Concerts (Paris)

« La transcription de la Symphonie "Jupiter", réalisée par l'interprète, est toute en sensibilité, en délicatesse. On redécouvre cette oeuvre, si souvent entendue, avec un plaisir renouvelé. »

Hi-Fi Video

« Yanka des miracles... Des prodiges instrumentaux... Des mille timbres... Des interprétations... Du naturel... Possession totale de l'instrument. »

Il Giornale di Vicenza (Italie)

« Un talent éblouissant et original... Une extraordinaire virtuose... Totalement libérée des partitions, toutes enregistrées dans sa mémoire, elle ne se contente pas d'être la servante et l'interprète fidèle du compositeur, elle vit sa musique de tout son être et recrée chaque oeuvre en y mettant une grande part de sa propre personnalité »

Ouest France

« ...Parmi les qualités de Yanka Hékimova, son talent à découvrir des sonorités qui ont suscité l'admiration de l'organiste de la Cathédrale Ste Anne lui-même... »

Belfast Telegraph

« Yanka Hékimova a conçu une transcription exceptionnelle de l'ouverture de "la Flûte Enchantée"... Verve mozartienne... Mystère de l'humanité... Vision miroitante.... »

Le Bien Public

« Non seulement ses moyens de virtuose sont exceptionnels, mais sa sensibilité et ses dons pour la "registration", c'est-à-dire pour l'utilisation des timbres de l'orgue, lui donnent une place toute particulière. Yanka Hékimova est une de ces rares organistes qui ont le pouvoir de tranfigurer l'instrument qu'ils jouent. »

Jean Guillou

« Yanka Hékimova est une extraordinaire virtuose dont les immenses capacités techniques jointes à une rare puissance d'interprétation la désignent comme l'une des plus remarquables organistes contemporaines sur la scène internationale. Les enregistrements de sa transcription de la Symphonie Jupiter de Mozart et la Fantaisie en La de Franck, réalisés sur le grand-orgue de Saint-Eustache à Paris, révèlent une imagination inhabituelle dans les registrations et illustrent parfaitement ses capacités d'interprète. La délicatesse de son jeu riche en nuances fait d'elle une artiste d'une sensibilité exceptionnelle. »

Robert Noehren, Professor Emeritus, The University of Michigan

«  Je me souviens du jour où à l'église Saint-Eustache j'écoutais la symphonie "Jupiter". Il m'a semblé que Mozart l'avait écrite pour Yanka Hekimova et que c'était la première fois que j'entendais jouer de l'orgue: le compositeur, l'interprète et l'instrument se confondaient et ne faisaient plus qu'un. Moment inoubliable de maîtrise et de grâce en cette église qu'on aurait dit édifiée pour cette sorte de miracle !  »

Jean-Claude Brisville, dramaturge

«  L'idée de faire entendre à l'orgue des œuvres de Mozart écrites à l'origine pour d'autres instruments peut sembler étrange, elle est en fait excellente. C'est particulièrement vrai pour la symphonie n°41 "Jupiter que vous avez jouée ce soir-là.  

Au départ, il y a votre transcription de la symphonie, transcription qui n'a rien à voir avec les réductions pour piano qui permettaient jadis aux amateurs trop éloignés des salles de concert de réentendre les œuvres qui leur avaient plu. La transcription que vous avez réalisée de la "Jupiter", Madame Hekimova, est une véritable recréation, c'est à dire une œuvre d'art à part entière. Grâce à elle, on entend très naturellement des lignes de contrepoint que les meilleurs orchestres ne parviennent pas toujours à mettre en lumière. 

Durant le concert, j'ai été frappé par votre art de la registration qui sait exploiter au mieux les vastes possibilités du grand orgue de Saint-Eustache sans jamais se laisser dominer par l'instrument. L'extrême variété de la registration et le savant étagement des plans sonores a donné à la "Jupiter" une vigueur, une lisibilité, je dirai même : une logique que je ne lui connaissais pas. 

Enfin, le choix des tempi associé à une virtuosité sans faille a conféré à l'ensemble de la symphonie une dynamique exceptionnelle, tout simplement : la vie. 

Ce soir-là, je pensais réentendre la symphonie "Jupiter", en fait, je l'ai redécouverte. Merci, Madame Hekimova, de nous avoir offert ce moment d'intelligence et de bonheur.  »

Dominique Dussaussoy, écrivain

Sur les traces de César Franck

Un extraordinaire voyage sonore à Paris - 2008

"Cela doit venir d'en-haut si le coeur est ému" : ainsi Michael Grüber décrivait-il ses sentiments lors de l'hommage rendu à César Franck, devant l'église Sainte-Clotilde. C'est exactement ce qu'avaient ressenti les participants du voyage d'étude "sur les traces de César Franck à Paris" au cours de ce pèlerinage d'une durée de cinq jours : la profondeur de la musique de Franck sur les lieux-mêmes de sa création, au travers des superbes instruments et églises dans l'atmosphère propice de Paris. 

L'intégralité de sa production pour l'orgue a été donnée durant les cours et les récitals dispensés par François-Henri Houbart à La Madeleine, Yanka Hékimova à Saint-Eustache, Olivier Penin à Sainte-Clotilde. Entre ces concerts, nous avons profité des présentations érudites et de la collaboration de Helga Schauerte - la position de Franck à Sainte-Clotilde -, de Kurt Lueders - Franck et l'harmonium / Franck et la vie musicale parisienne -, d'Eric Lebrun - César Franck et Alexandre-Pierre-François Boély. 

Des visites complémentaires, également agrémentées de concerts ont permis de pénétrer plus avant le monde organistique parisien : Saint-Bernard, Saint-Roch, Notre-Dame de Lorette, Saint-Antoine, la Chapelle du Val de Grâce, l'Institut des Jeunes Aveugles, Notre-Dame d'Auteuil, l'église des Invalides, Saint-Jean de Montmartre, Saint-Augustin et Saint-Thomas d'Aquin. 

La rencontre d'Olivier Latry à Notre-Dame ainsi que les concerts privés de Saint-Eustache et du Sacré-Coeur nous ont fait vivre des instants particulièrement exceptionnels. 

Les 70 participants venaient de toutes les régions de langue allemande, mais aussi de Hollande, Italie, Russie, Norvège, Corée, Grande-Bretagne et France. 

"Les traces de César Franck" nous ont conduit de l'église où il s'est marié et où il eut son premier poste d'organiste en 1847 - Notre-Dame de Lorette -, dans ses appartements de la rue Blanche et du boulevard Saint-Michel, de l'église Saint-Jean-Saint-François où il fut nommé organiste en 1851 à Saint-Eustache où il fit sa première apparition publique en 1854, de la rue César Franck à sa tombe, au cimetière de Montparnasse, et jusqu'à à l'église Sainte-Clotilde où ce périple se termina par un office religieux, une cérémonie du souvenir et un concert de clôture offert aux participants. 

Ce voyage d'étude à Paris était le prolongement des "Journées César Franck" de la mi-Février 2008 à la Philharmonie d'Essen organisées par www.organpromotion.com

Max Pöllner, Marco Paolacci (Musikhochschule Wien)